IL A TELLEMENT EU PEUR…
… de poser une question en classe.
… de partir seul en colonie
de vacances.
… d’enlever les petites roues.
IL A TELLEMENT EU PEUR…
… de poser une question en classe.
… de partir seul en colonie
de vacances.
… d’enlever les petites roues.
IL A ÉTÉ PÉTRIFIÉ À L’IDÉE
(alors qu’il en mourrait d’envie…)
… de quitter ses
proches pour
vivre à l’étranger
… d’ embrasser
une fille pour
la 1ère fois
… de partir dans la voie
du théâtre
IL A BEAUCOUP DIT…
(mais peu fait)
… qu’il allait demander une augmentation
… qu’il allait
passer son permis
de conduire
… qu’il allait
quitter son job
pour créer sa boîte
Né le 24 avril 1986 de l’union de Didier, Gérard (prénoms terriblement modernes pour l’époque) SEYNAVE et de Marie-Christine, Marguerite, Denise, Thérèse (« trancher » à l’époque semblait compliqué) BRENOT, le jeune Maxime grandit dans le quartier paisible, bucolique et rafraichissant de la Place de Clichy …
Comme beaucoup de jeunes garçons, il voulut devenir pompier … Mais très tôt averse au risque, surtout au vide, (ses interventions se seraient réduites à des rez-de-chaussée), il mit cette envie de côté. Passionné par le football, il voulut en faire son métier… Mais ses entraineurs n’ont jamais su si il était droitier ou gaucher et pas parce qu’il était ambidextre.
C’est finalement le marketing qui lui fit les yeux doux, ou plutôt l’inverse : il démarrait une carrière dans
« la mercatique » chez Orangina-Schweppes qui, à n’en pas douter, s’annonçait longue et flamboyante … moins de 4 ans et une inscription chez Pôle Emploi plus tard, il décida enfin d’écouter sa petite voix.
Il rêve de comédie. Au delà de l’évidence de leurs communes origines, Maxime admire la production artistique d’Elie Kakou et Gad Elmaleh. Il décide comme eux d’emboîter la voie des planches.
Depuis plus de 6 ans, Maxime arpente les scènes parisiennes de théâtre, a joué aussi bien dans des pièces classiques (de Molière à Feydeau en passant par Oscar Wilde et Eugène Labiche) que dans des pièces plus contemporaines comme « le Repas des Fauves » ou « Phase finale ».
Il a sorti son 1er court métrage « la goutte d’eau » en juin 2022.
Il crée en 2017 « Libre comme Max ! » dont le but est de rassembler des gens qui se connaissent ou non pour susciter chez eux leurs envies d’audace dans leur vie professionnelle et personnelle.
Né le 24 avril 1986 de l’union de Didier, Gérard (prénoms terriblement modernes pour l’époque) SEYNAVE et de Marie-Christine, Marguerite, Denise, Thérèse (« trancher » à l’époque semblait compliqué) BRENOT, le jeune Maxime grandit dans le quartier paisible, bucolique et rafraichissant de la Place de Clichy …
Comme beaucoup de jeunes garçons, il voulut devenir pompier … Mais très tôt averse au risque, surtout au vide, (ses interventions se seraient réduites à des rez-de-chaussée), il mit cette envie de côté. Passionné par le football, il voulut en faire son métier… Mais ses entraineurs n’ont jamais su si il était droitier ou gaucher et pas parce qu’il était ambidextre.
C’est finalement le marketing qui lui fit les yeux doux, ou plutôt l’inverse : il démarrait une carrière dans
« la mercatique » chez Orangina-Schweppes qui, à n’en pas douter, s’annonçait longue et flamboyante … moins de 4 ans et une inscription chez Pôle Emploi plus tard, il décida enfin d’écouter sa petite voix.
Il rêve de comédie. Au delà de l’évidence de leurs communes origines, Maxime admire la production artistique d’Elie Kakou et Gad Elmaleh. Il décide comme eux d’emboîter la voie des planches.
Depuis plus de 3 ans, Maxime arpente les scènes de théâtre parisiennes, a joué aussi bien dans des pièces classiques : de Molière à Feydeau en passant par Oscar Wilde et Eugène Labiche que dans des pièces plus contemporaines comme « le Repas des Fauves ».
Il crée en 2017 « Libre comme Max ! » dont le but est de rassembler des gens qui se connaissent ou non pour susciter chez eux leurs envies d’audace dans leur vie professionnelle et personnelle.